- EAN13
- 9782809842456
- Éditeur
- Archipel
- Date de publication
- 23/09/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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-
Papier - Archipel 18,00
Rédigé par l'un de ses plus proches amis, un ouvrage passionnant pour
comprendre comment Georges-Charles, dit Jo, est devenu Brassens.
Corne d'Aurochs : ainsi Brassens surnommait-il son ami d'enfance. Emile
Miramont se souvient : des parties de colin-maillard, des tartines beurrées de
la rue de l'Hospice, du potache Brassens, de ses premières colères
d'adolescent, de son éveil à la poésie et à la chanson, mais aussi des années
qui précédèrent le succès.
Servi par une belle émotion, ce livre dont le titre de chaque chapitre reprend
un vers de Brassens décrit une jeunesse sétoise que l'on ignorait. Anecdotes à
l'appui, l'auteur met en scène, en chair et en os, les personnages croisés par
Brassens dont il essaimera ses chansons : des mégères " gendarmicides " de
Brive-la-Gaillarde (Hécatombe), la petite Jo, cette demoiselle aux mœurs
légères mises en scène dans Le Mauvais sujet repenti, mais aussi la Jeanne et
l'Auvergnat, qui accueillirent l'oiseau tombé du nid chez eux, impasse
Florimont en 1944.
Un jour de 1948, rappelé par ses parents à Sète, Corne d'Aurochs dut quitter
Brassens et l'impasse Florimont où ils avaient, deux années durant, tout
partagé. De cet abandon, Brassens fut meurtri : il en fit une chanson, Corne
d'Aurochs. Le surnom de son ami allait devenir célèbre. En 1952, présenté au
public par Patachou qui tenait un cabaret en vogue à Montmartre, Brassens
connaissait son premier succès. Quelques mois après, il passait en vedette à
l'Olympia et toute la France reprenait Le Gorille, La mauvaise réputation, ses
premiers succès. Les trompettes de la renommée n'allaient plus cesser de
retentir jusqu'à la mort de l'artiste, en 1981.
comprendre comment Georges-Charles, dit Jo, est devenu Brassens.
Corne d'Aurochs : ainsi Brassens surnommait-il son ami d'enfance. Emile
Miramont se souvient : des parties de colin-maillard, des tartines beurrées de
la rue de l'Hospice, du potache Brassens, de ses premières colères
d'adolescent, de son éveil à la poésie et à la chanson, mais aussi des années
qui précédèrent le succès.
Servi par une belle émotion, ce livre dont le titre de chaque chapitre reprend
un vers de Brassens décrit une jeunesse sétoise que l'on ignorait. Anecdotes à
l'appui, l'auteur met en scène, en chair et en os, les personnages croisés par
Brassens dont il essaimera ses chansons : des mégères " gendarmicides " de
Brive-la-Gaillarde (Hécatombe), la petite Jo, cette demoiselle aux mœurs
légères mises en scène dans Le Mauvais sujet repenti, mais aussi la Jeanne et
l'Auvergnat, qui accueillirent l'oiseau tombé du nid chez eux, impasse
Florimont en 1944.
Un jour de 1948, rappelé par ses parents à Sète, Corne d'Aurochs dut quitter
Brassens et l'impasse Florimont où ils avaient, deux années durant, tout
partagé. De cet abandon, Brassens fut meurtri : il en fit une chanson, Corne
d'Aurochs. Le surnom de son ami allait devenir célèbre. En 1952, présenté au
public par Patachou qui tenait un cabaret en vogue à Montmartre, Brassens
connaissait son premier succès. Quelques mois après, il passait en vedette à
l'Olympia et toute la France reprenait Le Gorille, La mauvaise réputation, ses
premiers succès. Les trompettes de la renommée n'allaient plus cesser de
retentir jusqu'à la mort de l'artiste, en 1981.
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