- EAN13
- 9782253261957
- ISBN
- 978-2-253-26195-7
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 13/01/2021
- Collection
- Biblio
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 17,9 x 11 x 0,9 cm
- Poids
- 92 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- russe
- Fiches UNIMARC
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Offres
« Pareille à une flaque d’eau qui attire et absorbe une simple goutte, l’occupation se mit en place presque instantanément, avec la facilité d’une loi naturelle. L’essentiel avait eu lieu pendant que la ville dormait, et les habitants, surpris, s’accommodaient du nouvel état de choses comme un malade qui revient à lui après une anesthésie et qui apprend qu’on l’a déjà opéré et qu’il ne lui reste plus qu’à s’habituer à vivre sans ses jambes. »
Cédric X est le souverain d’un royaume minuscule et glacé, fait de traditions immuables, qui se voit envahi par les troupes du IIIe Reich lors de la Seconde Guerre mondiale. Petit à petit, les libertés disparaissent, le roi et son peuple courbent l’échine et acceptent l’humiliation. Jusqu’au jour où les Juifs sont obligés de porter l’étoile jaune…
Un roman court à lire comme une véritable parabole sur la responsabilité individuelle face aux événements collectifs.
L’Heure du roi devrait faire partie du patrimoine de l’humanité. Dominique Durand, Le Canard enchaîné.
Un petit diamant, sans scories, pour dire que l’homme, toujours, peut rester libre. Annie Coppermann, Les Échos.
Traduit du russe et postfacé par Elena Balzamo.
Cédric X est le souverain d’un royaume minuscule et glacé, fait de traditions immuables, qui se voit envahi par les troupes du IIIe Reich lors de la Seconde Guerre mondiale. Petit à petit, les libertés disparaissent, le roi et son peuple courbent l’échine et acceptent l’humiliation. Jusqu’au jour où les Juifs sont obligés de porter l’étoile jaune…
Un roman court à lire comme une véritable parabole sur la responsabilité individuelle face aux événements collectifs.
L’Heure du roi devrait faire partie du patrimoine de l’humanité. Dominique Durand, Le Canard enchaîné.
Un petit diamant, sans scories, pour dire que l’homme, toujours, peut rester libre. Annie Coppermann, Les Échos.
Traduit du russe et postfacé par Elena Balzamo.
Commentaires des libraires
Un classique inconnu
Oeuvre interdite en U.R.S.S à la fin des années 70, ce court roman est comme un pavé dans la mare. Les idées ondulent, se répercutent, s'élargissent. On a envie de relire chaque phrase pour interpréter, réinterpréter ce qu'à bien pu ...
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