Fantaisie vagabonde en Bretagne avec Flaubert
EAN13
9782375021231
ISBN
978-2-37502-123-1
Éditeur
Paulsen
Date de publication
Collection
Demarches
Nombre de pages
177
Dimensions
21,1 x 13,5 x 1,7 cm
Poids
240 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Fantaisie vagabonde en Bretagne avec Flaubert

De

Paulsen

Demarches

Offres

Autre version disponible

En 1847, Gustave Flaubert, le normand, réalise avec son ami Maxime Du Camp, le tour de la Bretagne. Ils ont 25 ans, et découvrent une péninsule bretonne pauvre, d’avant le chemin de fer et l’instruction publique.

Parti sur les pas du jeune auteur, Thierry Dussard évoque les lectures et les voyages qui l’ont marqué, confronte sa Bretagne à celle d’aujourd’hui et, en prenant au passage « Gust » par le col, il fait sortir de sa tanière l’ours qui avait voué sa vie entière à la littérature. En même temps, Dussard redonne la lumière à un fabuleux récit à quatre mains, Par les champs et par les grèves, un texte méconnu où l’on sent déjà toute l’ironie et la virtuosité du jeune écrivain.
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Fantaisie vagabonde en Bretagne avec Flaubert
Avec Thierry Dussard
Le , Librairie de Port Maria - Quiberon

Parti sur les pas de Flaubert, Thierry Dussard confronte la Bretagne d'hier à celle d'aujourd'hui, évoque ses lectures et ses voyages, en prenant « Gust » par le col au passage, pour faire sortir de sa tanière l'ours qui avait voué sa vie entière à l'écriture. Son récit est un élixir de littérature buissonnière.
Avec ses 25 ans pour tout bagage, et son ami Maxime Du Camp comme compagnon de voyage, le jeune Normand Gustave Flaubert fait, en 1847, le tour de la Bretagne à pied. Les deux compères parcourent une région fière et sauvage, encore ignorée par le chemin de fer et l'école. Ils s'aventurent à travers champs, s'embarquent pour Belle-Île, découvrent le bagne à Brest, la manufacture de tabacs à Morlaix, et la tombe de Chateaubriand à Saint-Malo. De ce périple, ils tireront un livre méconnu, Par les champs et par les grèves, où l'on sent déjà toute l'ironie et les fulgurances du futur écrivain. Du brut de Flaubert, qui pétille tel un cidre breton - ou normand, on ne sait de quel tonneau.