- EAN13
- 9782264080608
- ISBN
- 978-2-264-08060-8
- Éditeur
- 10-18
- Date de publication
- 18/08/2022
- Collection
- Littérature étrangère (1)
- Nombre de pages
- 255
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 0,7 cm
- Poids
- 138 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le temps est la plus grande distance
De Larry Fondation
Traduit par Romain Guillou
10-18
Littérature étrangère
Offres
" Larry Fondation est un poète impitoyable. " Véronique Ovaldé, Le Monde
Étudiant brillant, Lawrence préparait une thèse sur les écrivains Nathaniel Hawthorne et Nathanael West quand il a perdu pied. Dépression, dégringolade, pour échouer sur les trottoirs de Los Angeles. Entre démence et lucidité, Lawrence survit dans un monde cabossé. Hanté par son passé et ses lectures, il confond les opérations de police de la ville et les procès des sorcières de Salem, ressasse ses vieux cours de biologie et tâche tant bien que mal de se raccrocher au peu qui lui reste : ses rassurantes superstitions, les corbeaux qu'il côtoie, et Bekah. Sous la forme d'un roman déroutant et poétique, Larry Fondation raconte l'âpreté de la rue à travers le regard d'un homme égaré, enlisé dans les bas-fonds de L.A. comme dans le labyrinthe de son esprit instable.
" Larry Fondation est un poète impitoyable. " Véronique Ovaldé, Le Monde
" En donnant à voir par les yeux d'un naufragé, c'est notre regard sur tous les naufragés qu'il change. " Yann Fastié, Le Matricule des anges
" Superbe roman labyrinthique et émouvant qui raconte, avec une profonde authenticité, l'âpreté de la rue. " Revue 813
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Romain Guillou
Étudiant brillant, Lawrence préparait une thèse sur les écrivains Nathaniel Hawthorne et Nathanael West quand il a perdu pied. Dépression, dégringolade, pour échouer sur les trottoirs de Los Angeles. Entre démence et lucidité, Lawrence survit dans un monde cabossé. Hanté par son passé et ses lectures, il confond les opérations de police de la ville et les procès des sorcières de Salem, ressasse ses vieux cours de biologie et tâche tant bien que mal de se raccrocher au peu qui lui reste : ses rassurantes superstitions, les corbeaux qu'il côtoie, et Bekah. Sous la forme d'un roman déroutant et poétique, Larry Fondation raconte l'âpreté de la rue à travers le regard d'un homme égaré, enlisé dans les bas-fonds de L.A. comme dans le labyrinthe de son esprit instable.
" Larry Fondation est un poète impitoyable. " Véronique Ovaldé, Le Monde
" En donnant à voir par les yeux d'un naufragé, c'est notre regard sur tous les naufragés qu'il change. " Yann Fastié, Le Matricule des anges
" Superbe roman labyrinthique et émouvant qui raconte, avec une profonde authenticité, l'âpreté de la rue. " Revue 813
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Romain Guillou
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