- EAN13
- 9791033911074
- ISBN
- 979-10-339-1107-4
- Éditeur
- HarperCollins
- Date de publication
- 12/10/2022
- Collection
- HARPERCOLLINS P (1)
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 17,8 x 10,8 x 1 cm
- Poids
- 102 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Fête des morts et jeux dangereux dans le Japon des traditions
Alors qu’il venait tout juste de s’habituer à sa nouvelle vie, Ayumu apprend que son père est une fois encore muté. Adieu Tokyo, c’est désormais à Hirakawa, un village perdu dans les montagnes et les rizières, qu’il faudra se reconstruire.
Au collège, l’adolescent découvre une classe de douze élèves. Ces derniers, menés par Akira, se livrent a priori à des jeux innocents. Des moqueries, des mises au défi, des vols de babioles. Un bon moyen pour Ayumu, l’étranger venu de la grande ville, de s’intégrer parmi ses nouveaux camarades dans ce petit établissement de province.
Mais, au fil du temps, le garçon a commencé à remarquer. Les humiliations, les punitions, les coups, tous dirigés contre le doux Minoru. Que faire ? Intervenir ? Fermer les yeux ou risquer de se mettre les autres à dos ?
Un roman tout en tension, dans la lignée de Battle Royale, qui ne trouvera son dénouement qu’au jour de l’Okuribi, la fête des Morts…
Traduit du japonais par Miyako Slocombe
À propos de l’auteur
Professeur, musicien dans un groupe de rock et auteur, Hiroki Takahashi s’est fait connaître avec la trilogie Yubi no hone, qui lui a valu deux prix littéraires et une reconnaissance critique immédiate. Okuribi est son premier roman publié en France.
« D’une terrible efficacité avec un soupçon d'esthétisme bienvenu. Convaincant. » Le Monde des livres
« Un roman d’apprentissage à l’atmosphère inquiétante. » L’Obs
« [Takahashi] dépeint avec subtilité l’universelle lâcheté. » Paris Match
« C’est un récit défouloir où la torture entre enfants est de mise. […] Un spectacle macabre et dérangeant. » Le Figaro
« Dans une langue tenue, parfois lyrique ou clinique, Hiroki Takahashi entrouvre des portes sans jamais les refermer. Et la noirceur qui s’en dégage projette en éclats une ombre vive et fugitive sur des jeux d’adolescents, véritables rites lugubres et initiatiques. Cette étrangeté inquiète fait d’Okuribi un roman singulier, théâtre d’un imperceptible dérèglement de la normalité, comme une glissade vers l’ineffable. » Libération
« Un roman captivant et intense sur la manipulation psychologique et ses dérives. » Librairie Dialogues
« Un côté paisible et vivant au rythme des saisons, avec, en arrière-fond, un petit quelque chose d'angoissant qui monte crescendo » Librairie Volante
« Un texte dur et poétique à la fois dans la grande tradition des violences scolaires japonaises. On pense à Kids Return ou Battle Royale. Le style sec, dépuré, à hauteur d’adolescent emporte l’adhésion. » Librairie Lo Pais
« D’abord par curiosité puis avec un étrange plaisir coupable difficile à dissimuler, on attend le dénouement final, qui, on le sait déjà, nous glacera le sang… Un roman noir aussi subtil qu’effrayant… » Librairie Les papiers bavards
« Un roman hypnotique ou le lyrisme se mêle à un suspens captivant et à une extrême violence. Okuribi se lit comme un triller, un triller extraordinaire bien écrit. » Librairie La Flibuste
Alors qu’il venait tout juste de s’habituer à sa nouvelle vie, Ayumu apprend que son père est une fois encore muté. Adieu Tokyo, c’est désormais à Hirakawa, un village perdu dans les montagnes et les rizières, qu’il faudra se reconstruire.
Au collège, l’adolescent découvre une classe de douze élèves. Ces derniers, menés par Akira, se livrent a priori à des jeux innocents. Des moqueries, des mises au défi, des vols de babioles. Un bon moyen pour Ayumu, l’étranger venu de la grande ville, de s’intégrer parmi ses nouveaux camarades dans ce petit établissement de province.
Mais, au fil du temps, le garçon a commencé à remarquer. Les humiliations, les punitions, les coups, tous dirigés contre le doux Minoru. Que faire ? Intervenir ? Fermer les yeux ou risquer de se mettre les autres à dos ?
Un roman tout en tension, dans la lignée de Battle Royale, qui ne trouvera son dénouement qu’au jour de l’Okuribi, la fête des Morts…
Traduit du japonais par Miyako Slocombe
À propos de l’auteur
Professeur, musicien dans un groupe de rock et auteur, Hiroki Takahashi s’est fait connaître avec la trilogie Yubi no hone, qui lui a valu deux prix littéraires et une reconnaissance critique immédiate. Okuribi est son premier roman publié en France.
« D’une terrible efficacité avec un soupçon d'esthétisme bienvenu. Convaincant. » Le Monde des livres
« Un roman d’apprentissage à l’atmosphère inquiétante. » L’Obs
« [Takahashi] dépeint avec subtilité l’universelle lâcheté. » Paris Match
« C’est un récit défouloir où la torture entre enfants est de mise. […] Un spectacle macabre et dérangeant. » Le Figaro
« Dans une langue tenue, parfois lyrique ou clinique, Hiroki Takahashi entrouvre des portes sans jamais les refermer. Et la noirceur qui s’en dégage projette en éclats une ombre vive et fugitive sur des jeux d’adolescents, véritables rites lugubres et initiatiques. Cette étrangeté inquiète fait d’Okuribi un roman singulier, théâtre d’un imperceptible dérèglement de la normalité, comme une glissade vers l’ineffable. » Libération
« Un roman captivant et intense sur la manipulation psychologique et ses dérives. » Librairie Dialogues
« Un côté paisible et vivant au rythme des saisons, avec, en arrière-fond, un petit quelque chose d'angoissant qui monte crescendo » Librairie Volante
« Un texte dur et poétique à la fois dans la grande tradition des violences scolaires japonaises. On pense à Kids Return ou Battle Royale. Le style sec, dépuré, à hauteur d’adolescent emporte l’adhésion. » Librairie Lo Pais
« D’abord par curiosité puis avec un étrange plaisir coupable difficile à dissimuler, on attend le dénouement final, qui, on le sait déjà, nous glacera le sang… Un roman noir aussi subtil qu’effrayant… » Librairie Les papiers bavards
« Un roman hypnotique ou le lyrisme se mêle à un suspens captivant et à une extrême violence. Okuribi se lit comme un triller, un triller extraordinaire bien écrit. » Librairie La Flibuste
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